De ce fait, nous avons dû faire environ 35 heures de moteur pour arriver à Viveiro. Nous nous étions fixés une vitesse minimun de 5,5 noeuds.
Petite anecdote...Mais aussi...après une longue période au moteur, le vent rentre enfin à 135 degrés, l’idéal. Au bout d’une heure, le brouillard tombe et le vent monte avec des rafales à 28 noeuds...et me voilà sur le pont à prendre un ris et enrouler partiellement le génois.
Ça a duré 2 petites heures et puis plus rien...moteur.
Les joies de la navigation.
Un peu dur de trouver le rythme entre surveillance et sommeil surtout la première nuit, la deuxième nuit pas un seul bateau à l’AIS ou à la vue, j’ai réussi à me reposer.
A l’approche de l’Espagne, les fonds ne remontent qu’à 25 milles des côtes... pas de pêcheurs. Le temps était bouché. Notre première vision de la côte, nous a d'avantage fait penser à l’Irlande qu'à l’Espagne, surtout que nous avions quitté la Bretagne sous un beau soleil.
Ici le beau temps sera de retour dimanche.
En approche de la côte
Viveiro...droit devant
Au calme dans le port
Paysages très verts et boisés
Pour la suite...
Nous pensons quitter Viveiro dimanche en direction de la Corogne
Vous vous etes trompés de sens, c est à dunDunker que vous êtes arrivés. Demain je vais au club et je vais vous trouver !
RépondreSupprimerAh non, ici il n' y a pas de montagne, ni même de Coline.
Bises et bonne paella.